martes, 24 de agosto de 2010

IRAK. una guerra que no esta ganada, por los USA...



Mikel Orrantia DiezTENGO UN AMIGO ABOGADO QUE ME DICE QUE UNO SABE COMO ENTRA EN EL JUZGADO, PERO NO SABE NUNCA COMO VA A SALIR. La guerra de IRAK, la invasión de Irak por los USA y aliados es una metedura de pata que solo puede beneficiar a unos pocos sátrapas fabricantes de armas, guardianes del orden, financieros y petroleros, etc... El pueblo llano norteamericano, como todos nosotros, seremos, estamos siendo, los paganos, y el pueblo iraki pone involuntariamente el puesto de carnicería, con algunas aportaciones de soldados occidentales imperialistas, destacando la matanza entre sus propia gentes por aquello de 'quítame de allí' esa creencia o fe religiosa, dentro del propio Islam. (Cientos de miles de irakis han sido asesinados 'fallecidos' en la invasión y la guerra, incluida la matanza entre si por diferencias en la fe religiosa e interpretaciones de la palabra del verdadero Dios todopoderoso y su profeta Alá). Salud. Mikel




Irak : une guerre qui n’est pas gagnée


voltairenet.org



19 AOÛT 2010

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Pays
  Irak
Le Center for Strategic and International Studies (CSIS) vient de publier un rapport d’Anthony Cordesman sur la situation en Irak quelques mois après les élections. Sous forme de cartes et de tableaux, il complète et actualise un rapport rédigé précédent.
L’auteur estime que l’instabilité politique est gravement sous-estimée. Selon lui, il faudra encore 5 à 10 ans avant que la sécurité intérieure ne soit assurée et que la reconstruction puisse véritablement commencer. Il s’ensuit que les projections d’accroissement rapide de la production pétrolière sont irréalistes. Les réserves irakiennes ne seront pas correctement exploitées avant 20 ou 25 ans.
L’annonce du retrait des forces combattantes US en Irak n’a guère de sens. A la fin août 2010, il restera 50 000 soldats US dans le pays. Ceux-ci seront réorganisés pour être mis à la disposition du gouvernement irakien autant que de besoin. Il faut donc comprendre que les forces stationnées ne sont plus destinées à combattre une armée conventionnelle, mais l’insurrection populaire, ce qui 7 ans après la chute de Saddam Hussein n’est pas une nouvelle.
En outre, le retrait des forces combattantes d’Irak est en fait un simple déplacement régional. Le format des forces US dans le Golfe (Arabie saoudite, Bahrein, Emirats, Irak, Koweit, Qatar) est inchangé.
En définitive, il est d’autant plus impossible de dire quand la guerre d’Irak sera gagnée que les objectifs de guerre n’ont cessé de changer. Par exemple, dans la cadre du remodelage du « Proche-Orient élargi », il était convenu de démanteler l’Irak en trois Etats distincts. Aujourd’hui, cette perspective est abandonnée car elle a suscité l’alliance des Etats frontaliers (Syrie, Iran,Turquie) et l’effort porte désormais sur la restauration de l’unité du pays.
L’auteur —qui est proche de la monarchie saoudienne— conclut à la nécessité pour les Etats-Unis de poursuivre leur engagement à contre-courant du discours officiel de retrait.

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